Poussée par sa curiosité et son envie de comprendre le monde, Diane a d'abord étudié les sciences humaines avant de se tourner vers le cinéma pour redonner une dimension plus créative et artistique à son travail. Formée à l'Ecole Louis Lumière, elle mène de front une carrière d'assistante caméra et de cheffe opératrice.

Chaque film constitue un nouveau défi, avec ses enjeux propres et ses moyens particuliers, et offre ainsi l’occasion de se réinventer. A l'écoute de chaque projet, Diane cherche à créer la palette, les contrastes et la façon de cadrer les plus justes pour incarner au mieux la vision singulière du/de la réalisateur/trice et exprimer au mieux chaque scénario en particulier.

Diane fait du cinéma pour raconter des histoires et aime les films audacieux qui expriment un regard particulier sur le monde. Elle conçoit ainsi la technique et l'image comme étant au service d'un scénario et d’un propos, et apprécie la collaboration avec les réalisateurs qui ont un point de vue et des envies concernant la mise en scène. Investie et attentive à la cohérence d'un film, elle s'implique également dans le travail des décors et des costumes, qui construisent l'espace et apportent matière, textures et relief.

Elle a notamment signé l'image du court-métrage Babtou Fragile de Hakim Mao, qui traite des rencontres amoureuses gay à l'heure des réseaux sociaux qui fait actuellement le tour des festivals internationaux, et de Avant-garde de Maxime Azzopardi et Adrien Guedra-Degeorges, comédie franco-allemande autour de la définition d’une œuvre d’art, sélectionné entre autres au Festival de l'Alpe d'Huez 2021.

Jusqu’à présent, les rencontres qu’a pu faire Diane l’ont principalement amenée à faire de la fiction, surtout du cinéma d’auteur, et du clip, mais elle souhaite diversifier ses activités et s’intéresse également au documentaire et à la publicité.

Diane parle couramment anglais et espagnol ; elle est toujours partante quand son travail lui permet de voyager.